C’AYA QUOI ! Il y'a La Nakamurance, puis les Autres. Aya Nakamura, Son été

Panthers TV Magazine | Juillet 2025

Aya Nakamura, c’est la reine de l’été sans même lever le petit doigt. En 2025, pas de tournée XXL ni promo tapageuse. Juste deux singles efficaces : “Chimiyé” (février) et “Baddies” (mai) en feat. avec Joé Dwèt Filé qui tournent en boucle sur toutes les plateformes. Deux ambiances, deux humeurs, mais toujours la même signature : celle d’une artiste en pleine maîtrise de son art.

Côté vie privée ? Vacances discrètes mais stylées. Juin : Aya poste des photos mystérieuses dans un lieu ensoleillé, non géolocalisé. Peut-être les Antilles ? Le sud de la France ? Personne ne sait vraiment, et c’est bien l’idée. Tout est maîtrisé, sobre, mais lumineux. Entre villa, piscine et maillot chic, l’icône reste fidèle à son ADN : pas de blabla, mais beaucoup d’allure.

Entre deux vibes estivales, elle immortalise aussi son ascension. Le 12 juin, elle entre au Musée Grévin, devenant l’une des rares artistes urbaines françaises à y figurer. Quelques semaines plus tôt, elle annonçait la naissance de son propre label, Nakamura Industrie, après avoir quitté Warner. Un geste fort, qui scelle son indépendance artistique. Désormais, Aya dirige sa musique, son image, ses choix, ses tempos.

Et sur Insta ? Toujours là. Elle partage des instants de vie simples ou posés, glisse une story en studio, une autre les pieds dans l’eau, interagit avec ses fans, les sonde : “Et vous, vous partez où ?”. Elle leur parle sans filtre, mais sans jamais trop se dévoiler. Aya Nakamura ne se vend pas, elle se raconte par touches.

Bref, cet été, elle ne court pas après le buzz : elle EST le buzz. Luxe, calme, contrôle... et Nakamurance.

Par la rédaction de Panthers TV , avec Boris Pichichi , alias Boris Ngouo